Depuis 2015 la ferme de la Garenne est en cours de restauration.
En voici la partie centrale, aujourd'hui occupée par plusieurs appartements confortables.
3 fichiers pour un survol de la forte «identité » du quartier d'Elisabethville. Entre « autonomie », retour au domaine public, sécession et rattachement, les 90 ans des secteurs dits « d'Aubergenville » et « Epône » ont été denses en péripéties.
Petite rétrospective des équipements de bains sur le territoire de la commune d'Aubergenville.
Une devise belge pour une église d'Aubergenville.
Pourquoi ce nom ? "Bout du monde"
Un coup d'œil sur les cadastres, même anciens permet de constater que le lieu-dit "Bout du monde" ne s'y trouve pas. Alors ?... L'origine du nom semble être liée à l'installation dans cette périphérie du lotissement d'Elisabethville, d'un ancien ambassadeur - ou occupant quelle qu'autre fonction semblable à l'étranger. Lui et sa famille font construire une grosse demeure, immédiatement après la seconde guerre mondiale. Éloignée des autres propriétés, aboutissement d'une carrière passée en partie à parcourir la planète, le nom de baptême "bout du monde" convenait parfaitement. De la plaque scellée sur l'un des piliers du portail, il est passé à tout l'environnement de la maison, colporté par les uns et les autres. Il désigne depuis, pour chacun, les premières maisons rencontrées quand on vient d'Epône, les plus éloignées de la place de l'étoile pour Elisabethville. Des aménagements récents : salle polyvalente, stade, jardins communaux lui font perdre son statut de territoire "extrême"; la fin d'un rêve ?
(Pour la petite histoire, la plaque portant le nom du lieu sur le portail de la propriété, est aujourd'hui disparue et la maison, hier isolée, est occultée, engoncée dans le nouveau lotissement du biotope. Je n'ai pas eu le réflexe de prendre une photo pendant qu'il en était encore temps)
Les tennis à Elisabethville.
Mauvais revers; en mai 2015, ce site privilégié se ferme définitivement à une pratique qu'il avait initiée dans les années 20. Après une courte époque liée à Renault-Flins et son expérience de l'E.S.B.S (Entente Sportive de la Basse Seine) les 4 courts en terre battue (il y aura encore l'ouverture de 2 courts en quick) sont laissés à une pratique de tennis "loisir". Ouvert à tous, ce lieu champêtre (cf photo jointe) va accompagner la jeunesse puis la retraite sportive de nombreux habitants du quartier d'Elisabethville ou de ceux d'Aubergenville et des communes voisines. ( D Masfrand - photo M. Chemin 1980)
Âgée de près de 125 ans, la ferme de la Garenne à Elisabethville a déjà une existence bien remplie.
Après un "âge d'or" de presqu'un siècle, une longue période de déshérence a pu faire croire à sa ruine prochaine comme d'autres lieux emblématiques du quartier.
Depuis 2015 une résurrection est en marche qui tout en partageant les bâtiments en 2 "entreprises" distinctes, en garde l'apparence et le cachet patrimonial. La carte ancienne jointe (collection privée) est obsolète aujourd'hui, et vous en découvrirez l'évolution dans le dossier suivant.
Clin d’œil N°3
Un petit texte pour réveiller des souvenirs à la génération du "Baby boom".
Aux Noëls d'antan qui sentaient bon la bougie qui se consumait.
Clin d’œil N°4
Quelques instantanés de la vie d'une Reine qui était aussi un peu la nôtre.
Accès à la piscine (ancienne plage de Paris) interdit du fait de la montée des eaux de la Seine ; image habituelle pour les habitants d'aubergenville venus se promener près du fleuve.
Souvenirs souvent cocasses pour les plus anciens.
Pour en savoir davantage, cf le PDF ci-dessous.
Puisque l'urbanisation est en train de combler le vide entre Elisabethville et le vieil Aubergenville, pourquoi ne pas ressortir ce projet des années 1950/60 ?
Point de vue sur l'axe Elisa/Auber, via le passage à niveau. Un cadre pratiquement inchangé de 1883 à 1971.
Les "betteraviers", tel était le surnom donné aux premiers ouvriers de Renault-Flins... Est-ce pour cela que l'entreprise va leur allouer des espaces pour en faire des jardins potagers ?
Une petite plongée dans les rares maisons « Art moderne » d'Elisabethville, sur fond de trafic d'armes et d’espionnage, pour le clin d’œil de ce mois d'Avril.
Dans ce premier volet, E. Ramoisy, P. Lefaucheux – commanditaires – P. Tournon et B. Zehrfuss - architectes – organisent le destin du domaine de la Garenne (Elisabethville).
Elisa-ramoisy au premier plan; Elisa Lefaucheux en haut à gauche.
photo M. Chemin - 1980.
Un quartier nouveau : Acosta et de nombreuses rénovations, créations depuis la décennie 1960; le bourg d'Aubergenville est redessiné par les architectes suivant la politique volontariste des différentes municipalités.
Du 9e siècle à nos jours, comment le tissu urbain d'Aubergenville s'est-il mis en place ?